Aeryn Services Vitrier : 20 principaux types de vitrages

Vous cherchez le verre idéal pour vos fenêtres, vitrines ou projets décoratifs à Toulon ? Voici une présentation détaillée de 20 types de verre, chacun avec ses usages spécifiques, sa résistance (notée sur 5) et sa performance énergétique (sur 5). Que ce soit pour une réparation de vitre cassée à La Valette du Var ou Toulon, une installation neuve ou une rénovation, ces descriptions vous aideront à choisir le matériau parfait pour votre projet. De l’isolation thermique au design esthétique, en passant par la sécurité et l’acoustique, chaque verre a ses atouts. Contactez Aeryn Services pour un devis gratuit et une intervention rapide !

Explorez les Propriétés de Chaque Verre

Verre float

Le verre float est le type de verre le plus basique et polyvalent, fabriqué par un procédé de flottage sur étain fondu qui lui confère une surface plane et uniforme. Il sert de base à de nombreux autres verres traités. Translucide et neutre, il laisse passer la lumière naturelle sans distorsion, idéal pour les applications quotidiennes. Son épaisseur varie de 2 à 19 mm, ce qui le rend adaptable à divers formats. Historiquement développé dans les années 1950, il a révolutionné l'industrie du vitrage en rendant le verre abordable et de grande taille. Dans les habitations, il équipe souvent les fenêtres standards ou les miroirs. Son aspect clair et sa facilité de découpe en font un choix économique pour les projets de bricolage ou les rénovations simples. Cependant, il reste sensible aux chocs, d'où l'importance de traitements supplémentaires pour la sécurité. En termes d'esthétique, il offre une transparence pure qui amplifie la luminosité intérieure, contribuant à un sentiment d'espace ouvert. Pour les architectes, c'est un matériau de fond sur lequel superposer des couches fonctionnelles. Bien qu'il ne soit pas isolant par nature, il peut être assemblé en vitrages multiples pour améliorer ses performances. Globalement, le verre float incarne la simplicité et l'efficacité, un pilier invisible de notre environnement bâti.
Usage : Fenêtres standards, miroirs, tablettes de mobilier, vitrines basiques.
Résistance : 2/5 (Fragile aux impacts directs, se brise en éclats coupants).
Performance énergétique : 1/5 (Faible isolation thermique, pertes de chaleur importantes sans traitement).

Verre trempé

Le verre trempé, aussi appelé verre sécurit, subit un traitement thermique intense : chauffé à 600°C puis refroidi brutalement, ce qui comprime sa surface et le rend jusqu'à cinq fois plus résistant que le verre float ordinaire. En cas de bris, il se fracture en minuscules grains non coupants, minimisant les risques de blessures. Ce processus le rend idéal pour les environnements à fort passage ou exposés aux chocs accidentels. Disponible en épaisseurs de 4 à 12 mm, il supporte des températures extrêmes sans déformation, parfait pour les applications extérieures. Dans les cuisines, il forme des crédences durables et faciles à nettoyer, résistant aux éclaboussures et à la chaleur des plaques. Pour les douches, il crée des parois élégantes et sécurisées. Son aspect transparent ou teinté ajoute une touche moderne aux intérieurs. Contrairement au verre feuilleté, il ne retient pas les fragments, mais sa robustesse compense largement. Les fabricants le certifient selon des normes comme EN 12150 pour garantir sa qualité. Bien que plus cher, son installation simple et sa longévité en font un investissement rentable. Il s'intègre parfaitement dans les designs contemporains, alliant sécurité et esthétique sans compromettre la visibilité.
Usage : Portes de douche, crédences de cuisine, garde-corps, meubles en verre.
Résistance : 4/5 (Excellente aux chocs thermiques et mécaniques).
Performance énergétique : 2/5 (Isolation basique, améliorable en assemblage).

Verre feuilleté

Le verre feuilleté, ou laminé, assemble deux ou plusieurs feuilles de verre avec des films intercalaires en PVB (polyvinyle butyral), formant une structure monolithique qui retient les éclats en cas de choc, comme un pare-brise automobile. Cette technologie, née dans les années 1920 pour la sécurité routière, s'est étendue à l'architecture. Il offre une barrière invisible contre les intrusions, car même brisé, il demeure en place. Disponible en multiples couches pour une résistance accrue, il absorbe les impacts sans projection dangereuse. Dans les bâtiments publics, il équipe les vitrines et escaliers pour prévenir les accidents. Son épaisseur totale peut atteindre 50 mm, avec des options anti-UV pour protéger les meubles des rayons solaires. Facile à découper avant laminage, il permet des formes courbes élégantes. Les normes européennes (EN 356) classent sa résistance aux effractions de P1A à P8B. Bien que plus lourd, son poids est compensé par une durabilité exceptionnelle. Il intègre aussi des propriétés acoustiques ou thermiques via des films spéciaux. Pour les designers, c'est un matériau sécurisant qui n'altère pas la transparence, idéal pour des espaces ouverts et lumineux.
Usage : Vitrines commerciales, toitures, escaliers, véhicules.
Résistance : 5/5 (Supérieure aux impacts et effractions).
Performance énergétique : 3/5 (Bonne si combiné à un gaz isolant).

Verre armé

Le verre armé intègre une grille métallique (souvent en fil d'acier) fondue entre deux couches de verre pendant la fabrication, créant un composite robuste qui prévient la propagation des fissures. Inventé au XIXe siècle pour les serres, il résiste aux chocs tout en maintenant l'intégrité structurelle post-bris. La grille, invisible ou décorative, retient les fragments comme un filet de sécurité. Idéal pour les environnements humides ou exposés au feu, il empêche l'effondrement total en cas d'incendie. Son aspect texturé ajoute une touche industrielle aux intérieurs modernes. Disponible en épaisseurs de 6 à 10 mm, il est économique et facile à poser. Dans les serres agricoles, il protège les plantes des intempéries sans bloquer la lumière. Pour les toitures, il offre une sécurité passive contre les chutes d'objets. Bien que la grille puisse rouiller en milieu corrosif, des versions galvanisées résolvent ce problème. Il n'est pas aussi transparent que le float, mais sa durabilité compense. Les architectes l'apprécient pour les extensions vitrées où la sécurité prime. Globalement, c'est un verre historique qui allie tradition et fonctionnalité.
Usage : Serres, toitures, cloisons industrielles, verrières.
Résistance : 4/5 (Bonne aux fissures et chutes).
Performance énergétique : 2/5 (Isolation modérée, pertes thermiques via la grille).

Double vitrage

Le double vitrage assemble deux panneaux de verre séparés par une lame d'air ou de gaz (argon) scellée, réduisant drastiquement les transferts thermiques. Introduit dans les années 1970 pour la crise énergétique, il est devenu le standard des fenêtres modernes. L'espace intermédiaire (12-16 mm) agit comme un isolant naturel, limitant la condensation et les pertes de chaleur. Avec un traitement faiblement émissif sur une face intérieure, il réfléchit les infrarouges pour une efficacité accrue. Dans les habitations, il baisse les factures de chauffage jusqu'à 20%. Facile à recycler, il s'adapte à toutes les formes de menuiseries. Les versions asymétriques améliorent l'acoustique. Son coefficient Ug (1,1-2,0 W/m²K) certifie ses performances. Bien que plus épais (24-36 mm), il pèse moins lourd que le triple. Pour les rénovations, c'est un choix plug-and-play. Il laisse passer 70-80% de la lumière, préservant la luminosité. Les fabricants comme Saint-Gobain innovent avec des gaz rares pour l'optimiser. C'est le verre qui démocratise le confort passif.
Usage : Fenêtres résidentielles, baies vitrées, façades.
Résistance : 3/5 (Modérée, renforçable par feuilletage).
Performance énergétique : 4/5 (Excellente isolation thermique).

Triple vitrage

Le triple vitrage superpose trois feuilles de verre avec deux lames de gaz (argon ou krypton), offrant une barrière thermique ultime pour les climats froids. Développé pour les bâtiments passifs, il atteint un Ug de 0,5-0,8 W/m²K, soit deux fois mieux que le double. Plus épais (36-56 mm), il nécessite des menuiseries renforcées mais compense par des économies d'énergie massives (jusqu'à 30% sur le chauffage). Il réduit aussi les nuisances sonores de 40 dB. Dans les régions nordiques, c'est obligatoire pour les normes BBC. La lumière transmise reste élevée (60-70%), avec options anti-reflets. Son poids accru (40-50 kg/m²) limite son usage aux nouvelles constructions. Facile à entretenir, il résiste à l'humidité interne grâce à des dessicants. Les innovations incluent des coatings pour le contrôle solaire. Pour les propriétaires, c'est un investissement à long terme, amorti en 5-7 ans. Il incarne l'avenir de l'habitat durable, alliant confort et écologie.
Usage : Fenêtres en zones froides, bâtiments passifs, vérandas isolées.
Résistance : 3/5 (Similaire au double, personnalisable).
Performance énergétique : 5/5 (Isolation supérieure, quasi passive).

Verre isolant thermique

Le verre isolant thermique, souvent un vitrage avec coating low-E (faible émissivité), minimise les échanges caloriques en réfléchissant la chaleur intérieure vers l'habitat. Composé de couches métalliques transparentes déposées sous vide, il bloque les rayonnements infrarouges tout en laissant passer la lumière visible. Utilisé en simple ou multiple vitrage, il est clé pour les labels énergétiques comme RT 2012. Dans les bureaux, il maintient une température stable, réduisant les besoins en climatisation. Son transmittance solaire gérée (40-60%) évite la surchauffe estivale. Facile à intégrer, il s'adapte aux teintes neutres. Les normes NF EN 1096-2 valident ses propriétés. Bien que sensible aux rayures, des protections le rendent durable. Pour les familles, c'est synonyme de bien-être et d'économies. Il s'harmonise avec les smart homes pour une régulation automatique.
Usage : Façades thermiques, fenêtres éco-responsables, serres tempérées.
Résistance : 2/5 (Standard, non renforcée).
Performance énergétique : 5/5 (Optimale contre les déperditions).

Verre à faible émissivité

Le verre à faible émissivité (low-E) applique une fine couche conductrice (argent ou oxyde d'indium) sur une face, agissant comme un bouclier sélectif : il retient la chaleur courte onde intérieure tout en absorbant l'énergie solaire longue onde. Développé dans les années 1980, il booste l'isolation sans altérer la clarté (80% de transmission lumineuse). En double vitrage, son ε (émissivité) bas (0,03-0,1) atteint un g-value de 0,5. Idéal pour les régions tempérées, il réduit les factures de 15-25%. Options hard ou soft coating pour durabilité. Il prévient la condensation et les moisissures. Dans les hôpitaux, il assure un confort constant. Facile à produire en masse, il est recyclable. Pour les architectes, c'est un allié invisible pour des designs verts.
Usage : Vitrages résidentiels, bureaux, espaces publics.
Résistance : 2/5 (Basique, à combiner).
Performance énergétique : 5/5 (Réflexion thermique maximale).

Verre phonique

Le verre phonique utilise des épaisseurs asymétriques ou des lames réduites pour désynchroniser les ondes sonores, atténuant jusqu'à 40 dB les bruits extérieurs. Souvent feuilleté avec PVB dense, il cible les fréquences urbaines (voitures, trains). Dans les villes, il transforme un appartement bruyant en havre de paix. Sa Rw (indice d'affaiblissement) varie de 35-45 dB selon la composition. Compatible avec l'isolation thermique, il ne surcharge pas les menuiseries. Facile à poser, il s'intègre aux doubles vitrages standards. Les normes NF EN ISO 10140 mesurent ses performances. Bien que plus épais, son poids est gérable. Pour les parents, c'est un atout pour les chambres d'enfants. Il élève la qualité de vie sans compromis esthétique.
Usage : Fenêtres en zones urbaines, écoles, hôtels.
Résistance : 3/5 (Améliorée par feuilletage).
Performance énergétique : 3/5 (Bonne si hybride thermique).

Verre anti-effraction

Le verre anti-effraction, classé P1A à P8B, retarde les intrusions via des couches multiples de PVB épaisses (1,52-4,56 mm), forçant les cambrioleurs à employer des outils lourds. Testé aux chocs (NF EN 356), il résiste 3-15 minutes. Dans les commerces, il protège les stocks sans occultation. Transparent ou teinté, il intègre anti-UV. Plus lourd, il nécessite des cadres solides. Pour les familles, c'est une assurance tranquillité. Innovations incluent des films intelligents. Il allie sécurité et design.
Usage : Vitrines, portes d'entrée, façades commerciales.
Résistance : 5/5 (Haute aux attaques).
Performance énergétique : 3/5 (Variable, optimisable).

Verre de protection solaire

Le verre de protection solaire teinte ou traite la surface pour filtrer 50-80% des UV et IR, réduisant la chaleur intérieure sans rideaux. Son facteur solaire g (0,2-0,5) limite les gains caloriques. Idéal pour les climats chauds, il préserve les textiles. Transmet 30-60% de lumière. Normes EN 410. Dans les bureaux, il booste le confort. Économique en clim.
Usage : Façades sud, vérandas, serres.
Résistance : 2/5 (Standard).
Performance énergétique : 4/5 (Excellente anti-chaleur).

Verre extra clair

Le verre extra clair, avec faible teneur en fer, offre 91% de transmission lumineuse contre 83% du clair standard, pour une vision pure sans vert résiduel. Parfait pour les aquariums ou vitrines muséales. Épaisseurs 3-19 mm. Dans les lofts, il maximise la lumière naturelle.
Usage : Aquariums, meubles haut de gamme, fenêtres panoramiques.
Résistance : 2/5 (Fragile).
Performance énergétique : 1/5 (Aucune isolation).

Verre satiné

Le verre satiné, gravé ou sablé, diffuse la lumière pour une intimité opaque tout en laissant 70% passer. Anti-traces, il décore sans alourdir. Pour salles de bain, il évite les regards.
Usage : Parois de douche, cloisons intérieures, décorations.
Résistance : 2/5 (Standard).
Performance énergétique : 1/5 (Faible).

Verre imprimé

Le verre imprimé porte des motifs en relief pour filtrer la vue tout en illuminant (transmission 50-70%). Économique, il personnalise les espaces.
Usage : Portes intérieures, verrières décoratives, séparations.
Résistance : 2/5 (Basique).
Performance énergétique : 1/5 (Nulle).

Verre décoratif

Le verre décoratif, peint, sérigraphié ou texturé, ajoute esthétique et fonction (anti-vue). Options infinies pour designs uniques.
Usage : Murs-rideaux, meubles, crédences artistiques.
Résistance : 2/5 (Variable).
Performance énergétique : 2/5 (Si isolant).

Verre borosilicate

Le verre borosilicate résiste aux chocs thermiques (jusqu'à 165°C), utilisé en labos et cuisine (Pyrex). Faible expansion, il supporte le congélateur au four.
Usage : Ustensiles de cuisine, instruments scientifiques, fours.
Résistance : 4/5 (Thermique haute).
Performance énergétique : 3/5 (Isolation chaleur).

Verre autocollant

Le verre autocollant applique des films adhésifs pour sécurité ou déco, transformant un float en sécurit temporaire. Facile à poser, amovible.
Usage : Rénovations rapides, cloisons temporaires, protections.
Résistance : 3/5 (Améliorée par film).
Performance énergétique : 2/5 (Modérée).

Verre feuilleté acoustique

Le verre feuilleté acoustique intègre PVB vibro-dissipant pour Rw 40-50 dB, bloquant sons aériens et impacts. Pour zones bruyantes.
Usage : Studios, autoroutes adjacentes, hôpitaux.
Résistance : 4/5 (Chocs et son).
Performance énergétique : 3/5 (Bonne hybride).

Verre anti-UV

Le verre anti-UV filtre 99% des UVA/UVB via coatings ou dopants, protégeant œuvres d'art et peaux sensibles.
Usage : Musées, serres, fenêtres exposées.
Résistance : 2/5 (Standard).
Performance énergétique : 2/5 (Anti-chaleur UV).

Verre chauffant

Le verre chauffant intègre des fils ou ITO pour rayonner de la chaleur (100-300W/m²), comme un radiateur invisible. Contrôlable, économe.
Usage : Salles de bain, serres, planchers chauffants.
Résistance : 3/5 (Thermique).
Performance énergétique : 4/5 (Efficace localisée).